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Synthèse de Guillaume RENEE : 



     Dès notre première séance consacrée au TPE, nous nous sommes concertés pour le choix du sujet. Nous avons dans un premier temps pensé à travailler sur des thèmes économiques liés à l’actualité du moment. Il s'est vite avéré que nous faisions route sur des sujets "bateaux" et complexes. Nous nous sommes donc tournés vers des sujets plus en lien avec la société. "Les sondages" nous on tout d'abord paru comme un très bon sujet. Or, nous nous sommes là aussi vite aperçus de la complexité du sujet. Notre idée était d’avoir un thème d’ordre économique et social qui ne soit pas uniquement théorique mais nous permettant d’avoir des actions sur le terrain.

Le thème du « bénévolat » nous intéressait également, nous avons opté pour cette idée, en y associant les sondages.
Comme le "bénévolat" est un sujet très vaste et qu’il existe de nombreuses façons de l’interpréter, nous nous sommes finalement raccordés à ce qui nous est le plus proche, c'est-à-dire les jeunes. Ce qui nous a permis de donner naissance à notre thématique :

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« Les jeunes et le bénévolat »



     L’élaboration de la problématique de notre sujet a pris un certain temps, et ce n’est qu ’après notre première démarche active au sein du lycée et nos premières recherches documentaires que nous l’avons trouvée. Il nous était essentiel de bien connaître le sujet pour le problématiser. Ainsi avons nous finalement proposé cette problématique :



« En quoi l'investissement des jeunes dans l'activité bénévole présente-t-il des spécificités ? »

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     C’est dans cette perspective que nous avons mené notre travail et nos démarches. Notre première action fut la réalisation d’un sondage auprès des lycéens fréquentant notre établissement dans le but de mesurer la participation des jeunes du lycée dans l’activité bénévole.
Suite à cela, nous avons entrepris des recherches documentaires dans des livres, des documents, sur Internet pour récupérer un maximum d’information sur notre sujet.



     Ensuite pour notre deuxième partie, nous nous sommes intéressés à une association présente dans le bassin Saint-Lois. Nous avons découvert Peuples Solidaires et les causes qu’elle défend.
Le droit à l’éducation, la souveraineté alimentaire ou encore le droit des femmes font partie de leurs missions permanentes. Tous les trois sensibilisés par cette association, nous avons pris contact, pour dans un premier temps, mieux connaître Peuples Solidaires. Dans un deuxième temps, nous avons réfléchi si l’association à titre d’exemple, pourrait démontrer notre problématique.

 

     

     La semaine de la Solidarité Internationale qui s’est déroulée du 17 au 25 novembre a été pour nous une occasion de faire notre stage d’observation. Nous nous sommes rendus aux animations proposées par le collectif qui est un ensemble de six associations, dont Peuples Solidaires, Amnesty International, Unicef, CCFD (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement), Artisans du monde et France Palestine Solidarité. Le but de cette semaine est d’informer, de sensibiliser de faire réagir le public. Les animations proposées par le collectif étaient réservées avant tout au milieu scolaire, mais l’association avec le désir de sensibiliser un maximum de personne, a ouvert ses animations au public. Anaïs et Maëla ont pris des notes sur les différentes animations tandis que j’ai pris des photos et interviewé les dirigeants de Peuples Solidaires.

 

     

     Personnellement et avec la volonté d’approfondir mes connaissances sur le sujet, j’ai assisté à une conférence donnée par Alain MINGAT, chercheur émérite au CNRS. La conférence avait pour thème : « L’éducation, facteur de développement », ce qui m’a paru être la suite naturelle de la semaine de la Solidarité. Etant jeune correspondant chez Ouest France, j’ai également eu l’occasion d’écrire un article dans le cadre de la semaine de la solidarité. Cela m’a permis de rencontrer les membres du collectif. Suite à cela, André LAURENT nous a gentiment invités au conseil d’administration pour mieux comprendre le fonctionnement d’une association.





     Après avoir mis en ordre toutes nos idées, nous avons pu les regrouper et aboutir à un premier plan que nous avons amélioré au fur et à mesure. Les professeurs conseillaient d’opter pour un format autre que le papier. Nous avons donc choisi comme support un site Web, pour le coté innovant et convivial, ce qui m’a permis de mettre mes connaissances au service d’un projet collectif, j’ai pu ainsi m’occuper de la création du site et de la mise en ligne des contenus rédigés sur notre site internet. J’ai aussi pris contact avec les dirigeants de Peuples Solidaires afin de faire un stage d’observation et avoir des réponses à nos nombreuses questions. 
Mon travail au sein du TPE a reposé principalement sur les sondages et leurs analyses, sur l’association Peuples Solidaires ainsi que sur la problématique.





     En terme d’investissement, travail personnel et travail de groupe sont, bien entendu, reliés, et nous ne pouvons les séparer aisément. C’est le travail de chacun, associé au travail en groupe qui permet au TPE d’avancer. J’aime le travail de groupe quand toutes les personnes se répartissent la tâche et travaillent ensemble en argumentant sur ce qui pourrait être amélioré. Un travail type TPE demande un effort continu et prolongé, je fus et je dois l’avouer quelque peu déçu du manque de disponibilité et d’investissement d’une personne au sein du groupe. J’ai principalement travaillé avec Maëla.

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     En conclusion, les rencontres avec les différentes personnes interviewées ont été très enrichissantes du point de vue personnel et sont à mon sens l’une des plus belles expériences lors de ces TPE.
De plus, j’ai porté un vif intérêt à notre sujet puisqu’il m’a permis d’avoir une première approche concrète de la « sociologie », science si enrichissante sur la connaissance de la façon de penser et d’agir de la société.
Cette expérience me donne, aujourd’hui, l’envie de donner de ma personne et de pourquoi pas, m’investir dans une association.  





« Donner est plus doux que recevoir », disait l’illustre historien Ernest Ronan















Synthèse de Maëla BRUN : 



     Au cours de notre première séance de TPE nous avons réfléchi à notre thème de travail. Les premiers thèmes qui nous sont venus à l'esprit étaient plutôt d'ordre économique, donc en accord avec notre série économique et sociale. Conscients des limites de ces sujets fréquents, nous avons pensé au thème des sondages. Une nouvelle fois ce sujet s’avérait trop complexe par rapport à nos connaissances. Toute fois, nous avons réussi à trouver un sujet dans lequel nous avons pu ensuite incorporer cette idée de sondage : le bénévolat et plus particulièrement celui des jeunes.

    Nous avons éprouvé beaucoup de difficultés à trouver notre problématique et ce n'est que après plusieurs séances en classe que nous l'avons trouvée après avoir effectué notre démarche active.
En effet, la problématique étant: «  En quoi l'engagement bénévole des jeunes  est-il spécifique ? » il nous était nécessaire de bien connaître le sujet traité pour pouvoir le problématiser correctement.

Notre démarche active menée en place fut pour la première partie la réalisation d'un sondage au sein de notre lycée puis pour la seconde la présence à une animation organisée par l'association Peuples Solidaires ainsi qu'a leur conseil d'administration. Pour nos recherches et notamment la comparaison des résultats du sondage avec les données nationales, deux rapports dénichés sur internet nous ont été fortement utile, il s'agit du Guide du bénévolat ainsi que le rapport de France bénévolat. Nous avons choisi d'utiliser comme support un site web. Cette utilisation représentait des avantages mais également des inconvénients. Ce support étant plus original qu'un banal support papier, il permet également au lecteur de rendre sa lecture plus attractive avec le diaporama de photos que nous avons mis en place par exemple. Cependant sa mise en page était difficile à réaliser.

L'organisation interne dans notre groupe c'est plutôt bien déroulée malgré quelques conflits liés au stress de l'échéance. Cependant, l'ambiance et la motivation est restée bonne au sein du trio au fil du semestre. Nous avons décidé de nous partager le travail, Guillaume et Anaïs se sont occupés plus particulièrement des sondages car cette rubrique nécessitait beaucoup de travail car il fallait compter les 420 réponses, les classer, calculer les proportions, réaliser les graphiques. Pour ma part, je me suis plutôt intéressée à la comparaison avec les données nationales, à l'introduction avec l’aide de mes camarades. Je me suis également occupé avec Guillaume des entretiens avec les bénévoles de Peuples solidaires. Nous avons sacrifié beaucoup de notre temps et de notre énergie en dehors du temps scolaire pour parvenir à ce résultat.

    Ce travail m’a apporté beaucoup de choses. Je pense que cette expérience m’a permise de mieux me rendre compte du travail que fournissait les bénévoles. J’ai également pu assister à la semaine de la solidarité internationale, chose que je n’aurait probablement pas faite autrement. Cette étude m’a aussi donné l’envie de mieux m’engager au sein de mon club d’athlétisme notamment au cours d’une course organisée à St Lô.

















​Synthèse d’Anaïs ROUXELIN :​


     Pour commencer, le sujet du TPE sur le bénévolat, a été très intéressant à étudier du point de vue « économique ». Tout d’abord, notre sondage qui nous a permis de voir combien il y a de jeunes bénévoles et si ce nombre est supérieur ou inférieur au nombre de non-bénévoles.  Mais aussi du point de vue « sociologique » pour comprendre pourquoi il n’y a pas assez de jeunes bénévoles. Cela nous a permis aussi d’aller à la semaine de la solidarité car je pense que sans le TPE, je n’y serai pas allée. Ce travail m’a permis aussi de rencontrer d’autres personnes  comme le président de Peuples Solidaire, André Laurent.  Au cours des heures de TPE, pour ma part, je pense qu’au début, le groupe ne s’est pas assez regroupé pour parler de ce que nous devons faire,. L’organisation s’est montrée difficile et a occasionné un petit retard. Après en avoir parlé ensemble, nous nous sommes ressaisis. Le groupe s’est solidifié et nous nous sommes mieux réunis, ce qui nous a permis d’avancer plus efficacement.

    Je suis très satisfaite de cette expérience au cours de l’arrivée et j’ai découvert de nouvelles notions concernant le bénévolat. N’étant pas bénévole, j’ai découvert cette activité, qui, si j’avais plus de temps, me plairait à pratiquer quotidiennement